Moins de truites, plus de goujons : on est parti compter les poissons dans la rivière sur la petite Rhue, dans le Cantal
Pour protéger, il faut connaître. Régulièrement, les techniciens de la Fédération de pêche du Cantal viennent surveiller des stations définies à l’agence : s’ils connaissent la température et les hauteurs d’eau grâce à des capteurs, il n’y a qu’une seule solution pour savoir quels poissons nagent dans l’eau. Tous les deux ans, des segments entiers de rivières sont ainsi pêchés, les poissons comptés, avant d’être relâchés, vivants.